This site uses cookies.
Some of these cookies are essential to the operation of the site,
while others help to improve your experience by providing insights into how the site is being used.
For more information, please see the ProZ.com privacy policy.
This person has a SecurePRO™ card. Because this person is not a ProZ.com Plus subscriber, to view his or her SecurePRO™ card you must be a ProZ.com Business member or Plus subscriber.
Affiliations
This person is not affiliated with any business or Blue Board record at ProZ.com.
Services
Translation, Native speaker conversation, MT post-editing, Transcreation, Language instruction, Subtitling, Training
Expertise
Specializes in:
Marketing
Cosmetics, Beauty
Internet, e-Commerce
Education / Pedagogy
Certificates, Diplomas, Licenses, CVs
Cinema, Film, TV, Drama
Gaming/Video-games/E-sports
International Org/Dev/Coop
Management
Tourism & Travel
Volunteer / Pro-bono work
Open to considering volunteer work for registered non-profit organizations
Rates
French to Chinese - Standard rate: 0.07 EUR per word / 18 EUR per hour French to Mandarin Chinese - Standard rate: 0.07 EUR per word English to Mandarin Chinese - Standard rate: 0.07 EUR per word Chinese - Standard rate: 0.08 EUR per character / 18 EUR per hour
French to Mandarin Chinese: L’introduction des albums de peintures chinois à l’époque d’Edo General field: Art/Literary Detailed field: History
Source text - French Le Japon de l'époque d'Edo, c'est-à-dire du XVIIe au milieu du XIXe siècle, a longtemps été présenté comme une période de fermeture et de repli, suite à l'interdiction du christiannisme. Or, on a souligné ces dernières années le caractère relatif de cette « fermeture » (sakoku 鎖國) du Japon. L’information sur la culture et les pays étrangers, par le biais du livre notamment, continua de circuler, même si elle fut soumise au contrôle très strict des « inspecteurs des livres » (shomotsu aratame-yaku 書物改役) mis en place après la promulgation en 1630 d'un décret qui visait à interdire l’entrée des ouvrages occidentaux — traduits en chinois — traitant de la religion chrétienne et des sciences.
La procédure de contrôle, qui consistait à examiner le contenu de chaque livre importé, avait certes un objectif de censure, mais elle permettait aussi de faire connaître les nouveaux titres et d'en en signaler l’intérêt par un rapport (taii-sho 大意書) au préfet de Nagasaki (長崎奉行). Cette interdiction, rappelons-le, fut d’ailleurs levée un siècle plus tard (1720) — en vue de favoriser l’essor des « sciences appliquées » (實學) —, à l’exception toutefois des ouvrages relatifs au christianisme, qui continuèrent d’être expurgés ou détruits.
Translation - Mandarin Chinese 日本江戶時代,相當於17世紀到19世紀中葉,實行鎖國政策,嚴禁基督教傳入。然而,近幾年來,人們強調指出江戶時期鎖國政策的不完全性。儘管受到書籍檢查人員(“書物改役”),有關外國和外國文化的情況,仍通過書籍不斷在日本傳播。這種對書籍的控制是從1630年頒佈禁書令開始實行的,它的目的是進至西方有關基督教和科學的中文譯著進入日本。
書籍檢查的進行方式就是驗看每一本進口書的內容,當然帶有查禁的目的,但同時他也以一種經常的方式來看看有無新書,藉此可得知新書的題名以及特別之處,並將它們寫進一份稱為“大意書”的報告中,上呈給長崎奉行(長崎的行政長官)。為了促進實學的發展,一個世紀後的1720年,取消了這個禁令 ;但是有關基督教方面的書仍然在被禁之列,繼續被刪改或毀棄。
English to Mandarin Chinese: Taking the Skin Discussion Beyond Genes and DNA: OOOO Facial Treatment Essence Creates ‘BIO-Shift™’ Revolution to a New Level of Crystal Clarity General field: Marketing Detailed field: Cosmetics, Beauty
Source text - English Seoul, 27 May 2011 – Insights from years of in-depth skin research and a first-of-its kind holistic longitudinal study have led OOOO to discover ‘BIO-Shift™’, a revolutionary concept of diagnosing and addressing skin concerns holistically, right at the heart where it matters most – our skin science starting from the gene, right through each metabolic pathway to reach its final expression of skin’s crystal clarity through OOOO Pitera™.
Through deeper extensive investigations on skin biology and physiology, OOOO has found that while it is impossible for beauty products to change the genes or DNA you were born with, specific ingredients have the power to shift your skin biology towards its optimal crystal clarity.
This insight, combined with recent discoveries on Pitera™ – OOOO's signature ingredient, has uncovered a brand new understanding of how it works on specific fundamentals of skin biology to bring women closer to crystal clear skin.
French to Mandarin Chinese: Taiwan : bye-bye Africa… General field: Social Sciences Detailed field: Journalism
Source text - French Longtemps, Taipei a noyé le continent sous une pluie de dollars et de projets mirifiques pour se faire reconnaître comme le seul représentant légitime de la Chine en lieu et place de Pékin. Mais peu à peu, ses alliés chèrement acquis ont fait défection. Dernier en date : la Gambie, le 14 novembre.
Plus qu’un simple revers diplomatique, la décision de la Gambie de Yaya Jammeh, le 14 novembre, de rompre toute relation officielle avec Taiwan marque la fin d’une époque. Signe évident de ce changement d’ère, les deux diplomates dépêchés par Taipei pour sauver in extremis les liens noués dix-huit ans plus tôt avec l’un de ses derniers alliés en Afrique de l’Ouest ont trouvé porte close au State House, la présidence gambienne.
Pourtant, il n’y a pas si longtemps, l’ancienne Formose disposait d’un vaste réseau diplomatique en Afrique subsaharienne. Pas moins de treize alliés, de l’Afrique du Sud au Tchad en passant par le Liberia, le Niger et le Lesotho ; du Burkina Faso au Swaziland en passant par la Guinée-Bissau et le Sénégal ; de la Gambie à São Tomé e Príncipe en passant par la Centrafrique et le Malawi… À l’apogée de ces relations, le président taïwanais s’offrait régulièrement un périple dans plusieurs États africains. On lui déroulait le tapis rouge, il était accueilli par des groupes de danse et des fanfares militaires…
Coup de pouce de plusieurs dizaine de millions de dollars
L’influence diplomatique de Taiwan en Afrique était si grande qu’en 2003 des pays du continent avaient déposé devant l’Assemblée générale de l’ONU une résolution demandant son admission aux Nations unies. Toujours en 2003, les mêmes avaient également tenté d’obtenir pour lui le statut d’observateur auprès de l’Organisation mondiale de la santé.
Car Taiwan avait l’art – et surtout la manière – de convaincre ses amis. Chaque reconnaissance diplomatique se déroulait selon un scénario bien rodé. D’abord, un coup de pouce budgétaire de plusieurs dizaines de millions de dollars, payés rubis sur l’ongle. Très souvent, l’argent était apporté en liquide dans des valises diplomatiques ou mis à disposition sur des comptes offshore. Les nouveaux alliés n’en demandaient pas tant. « Nous étions à court d’argent. On ne pouvait quasiment plus payer le salaire du mois en cours à nos fonctionnaires quand cette aubaine d’établir des relations avec Taiwan nous est tombée dessus. Nous avons donc saisi la balle au bond », se souvient un diplomate nigérien impliqué en 1992 dans les négociations avec le régime taïwanais. Peu après l’officialisation des relations bilatérales, une aide sans condition de 20 millions de dollars fut accordée à Niamey. Une partie atterrit dans les caisses du Trésor public ; l’autre se perdit dans les dunes… C’était sans importance pour Taiwan : l’essentiel était que le Niger ait rompu avec la Chine rivale.
Cette « diplomatie du chéquier » fonctionnait sous la forme d’un « package », qui comprenait un volet financier et la réalisation de nombreuses infrastructures. Au Sénégal, Taipei a choisi de construire des routes. Au Burkina, il a préféré bâtir un hôpital de près de six cents lits et ériger un échangeur à Ouagadougou. Au Niger, la coopération a porté sur l’irrigation des terres. Tout cela se déroulant suivant une méthode qui plaît aux partenaires africains : les Taïwanais n’exigent aucune transparence dans la passation des marchés publics qu’ils financent. Ils ne regardent pas davantage les critères d’implantation des projets. Blaise Compaoré, le président burkinabè, a ainsi pu faire construire le centre national de référence en matière de formation professionnelle et technique à Ziniaré, son village natal.
Appui aux pays, mais aussi petits gestes « amicaux », en nature ou en espèces, au profit des élites au pouvoir… Taiwan a ainsi construit en 2000 le palais présidentiel burkinabè. Il a également fourni en 2001 une aide de près de 5 milliards de F CFA (7,6 millions d’euros) pour réparer l’avion présidentiel sénégalais. Dans un autre État africain, une rallonge budgétaire de près de 8 milliards de F CFA s’est volatilisée entre Taipei et sa destination finale. Aucune explication n’a été exigée. En amitié, on ne compte pas…
Mais cette alchimie magique a fini par se dissiper. Des ruptures de relations diplomatiques sont survenues, puis se sont accélérées. Le Lesotho a ouvert la marche en 1994, suivi par le Niger en 1996. Deux ans plus tard, c’était au tour de la Centrafrique, de l’Afrique du Sud et de la Guinée-Bissau. En 2001, Taiwan pouvait encore compter sur huit fidèles alliés. Las pour lui, en l’espace de cinq ans (2003-2008), le Liberia, le Sénégal, le Tchad et le Malawi ont fait défection. Le pays ne peut plus aujourd’hui se prévaloir que de l’amitié du Burkina Faso (16,5 millions d’habitants), du Swaziland (1,2 million d’habitants) et de São Tomé e Príncipe (165 400 habitants).
Ce reflux inexorable est d’abord lié à des causes endogènes. La perte d’influence taïwanaise correspond en effet aux progrès de la démocratisation sur le continent. Il était de toute évidence plus facile de mettre en oeuvre une diplomatie du chéquier avec des régimes corruptibles, n’ayant de comptes à rendre à personne. Or, avec l’avènement du multipartisme, des élections législatives ont été organisées un peu partout sur le continent. Ce sont désormais les parlements qui ratifient les accords internationaux. Ils peuvent exiger d’en connaître le contenu. Parallèlement, des organisations de la société civile ont vu le jour. Des structures telles que Publiez ce que vous payez (PCVP) ou Initiative pour la transparence des industries extractives (ITIE) n’acceptent plus l’opacité dans la gestion des affaires publiques. Elles créent donc un environnement moins propice au détournement des deniers de l’État. S’y ajoute la traque des « biens mal acquis », à l’étranger comme sur le plan national, qui dissuade quelque peu les élites dirigeantes d’aller déposer les sommes détournées à Monaco, en Suisse ou au Luxembourg.
D’autres facteurs, exogènes cette fois, ont joué un rôle. Les relations entre la Chine et Taiwan se sont apaisées ces dernières années. La génération de Lee Teng-hui et de Chen Shui-bian, engagée dans la confrontation ouverte avec Pékin, a laissé place à celle de Ma Ying-jeou. Élu président en 2008 et réélu en 2012, celui-ci est un farouche partisan du renforcement des relations économiques entre la Chine continentale et l’île rebelle. En atteste le flegme avec lequel il a commenté, le 22 novembre, la défection de la Gambie. « Il n’y avait aucun signe avant-coureur. C’est un incident isolé, et en me fondant sur des informations provenant de différentes sources, la Chine ne s’en est pas mêlée », a-t-il déclaré.
Tenant compte de cette nouvelle ère, Pékin a abandonné le dogme « Taiwan ou nous ». Résultat : des pays africains comme l’Algérie, le Nigeria et l’Afrique du Sud accueillent des bureaux de représentation de Taiwan tout en restant des fidèles amis de la Chine populaire.
Au Burkina Faso, le seul « grand pays » encore allié de Taipei en Afrique, des hommes d’affaires, des opposants et des intellectuels souhaitent profiter de la brèche pour renouer avec la Chine, estimant qu’on ne peut continuer à ignorer longtemps un marché de plus de 1,3 milliard d’habitants. Si Ouagadougou faisait défection, Taiwan ne compterait plus comme derniers alliés en Afrique que le Swaziland et São Tomé e Príncipe. Mais pour combien de temps encore ?
Translation - Mandarin Chinese 長久以來,臺灣為取代中華人民共和國,爭取其 « 唯一合法 »中國地位,一直對非洲展開各項援助計畫及大手筆地灑美元雨。然而這些高價收買來的盟友卻一一背叛臺灣。
English to Chinese: GEM VISIONS General field: Marketing Detailed field: Marketing
Source text - English What will be the main spirit for 2010?
First, the powerful nature trend of 2009 is still present in a future-oriented, more inventive and sophisticated way. It shines everywhere, in each theme with natural colours, organic visions or eco conscious designs.
2010 is the year of surrealist expression where we see a real shakeup of realism and correct proportions. We exaggerate, we shake off all the rules of the past and we aim for extravagance, another form of surrealism.
Secondly, the idea of chaos is something very new in all the jewellery markets. It introduces something modern and fresh into the luxury universe. New themes and approaches reflect the dizzy feeling we get facing our clash of cultures and our often conflicting desires.
French to Mandarin Chinese (Université Paul-Valéry Montpellier 3 - UFR 2 Langues et Cultures Étrangères et Régionales) Mandarin Chinese (Université Paul-Valéry Montpellier 3 - UFR 2 Langues et Cultures Étrangères et Régionales, verified) Chinese (Université Paul-Valéry Montpellier 3 - UFR 2 Langues et Cultures Étrangères et Régionales, verified)
Memberships
N/A
Software
Adobe Illustrator, Adobe Photoshop, MateCat, Microsoft Excel, Microsoft Word, Trados Studio
Professional objectives
Meet new translation company clients
Work for non-profits or pro-bono clients
Screen new clients (risk management)
Find trusted individuals to outsource work to
Build or grow a translation team
Meet new end/direct clients
Network with other language professionals
Get help with terminology and resources
Learn more about translation / improve my skills
Learn more about interpreting / improve my skills
Get help on technical issues / improve my technical skills
Learn more about additional services I can provide my clients
Learn more about the business side of freelancing
Find a mentor
Stay up to date on what is happening in the language industry
Help or teach others with what I have learned over the years
Transition from freelancer to agency owner
Transition from freelancer to another profession
Buy or learn new work-related software
Improve my productivity
Bio
Sworn French - Chinese translator (Court of Appeal of Montpellier) with expertise in international project management, language education and translation. I have knowledge in a wide range of subject matters which I am able to apply to translation assignments. I am
now a full-time translator based in France, working for several agencies on a regular
basis. I am a qualified professional who follows industry standards in translation.
I specialize in the following areas of expertise:
•Marketing & Advertising Material / Public Relations
•General Business / Commerce
•Education & Research
•Social Science
•Public sector & Non-profit
•Official documents
•Travel & Tourism
Keywords: Mandarin, Traditional Chinese, Simplified Chinese, History, Marketing, Language education, Education