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English to French: Guidance on long COVID General field: Medical Detailed field: Medical: Health Care
Source text - English What is ‘long COVID’ and how to report on it
Until recently, the narrative of COVID-19 has been that it will either be life threatening, or it will feel like a bout of the flu; take some rest and you will recover quickly – especially if you’re young. But there is
growing anecdotal and scientific evidence that some people are not recovering so quickly. There are growing reports of people having serious physical and neurological symptoms that can last for weeks
and sometimes months affecting your ability to return to work or even lead a normal life. But when these long haulers get tested for COVID-19 weeks or months into their illness, the results are negative. So why are they still feeling the effects of the virus?
On average, long-haulers who tested negative experienced the same set of symptoms as those who tested positive for COVID-19: fatigue, persistent joint pains, shortness of breath and a loss of smell for months after they have recovered from the initial illness.
But their negative result leaves them in a strange, painful limbo, instead of indicating they have been completely cured and ironically shuts them out of research and treatments. Sufferers may be unable to get support from family and friends who do not understand why they are ill for so long, and many are put under pressure to return to work.
What do you need to know?
Question 1
Is long COVID a medical term?
There is no consensus on the medical definition of ‘long COVID’ at the present time. The following is a suggestion from a British Medical Journal panel in early September 2020: long COVID is a
condition of not recovering for several weeks or months following the start of symptoms that were suggestive of COVID19, whether the person was tested for the SARS- CoV-2 virus that causes COVID-19. Advocacy groups prefer this definition because there are some with long COVID whose insurance claims are being denied, if they had never been tested for the SARS-CoV-2 infection.
Long COVID has puzzled scientists and left those affected feeling unsupported by health systems that are only just discovering the long-term impacts of the disease. Sufferers may struggle to get the medical support or recognition for their condition.
The World Health Organization (WHO) acknowledges that it does not yet fully understand COVID-19. It says that typical recovery times are two weeks for patients with mild illness, and up to eight weeks for those with severe illness, but it recognizes that there are people who continue to have symptoms for longer.
In such cases, the WHO says, symptoms may include extreme fatigue, persistent cough or exercise intolerance (getting tired very quickly when you exercise). The virus can cause inflammation in the lungs,
cardiovascular and neurological systems, and it can take a long time for the body to recover.
What is alarming is that newer data is emerging about long COVID-19 sufferers who seem to develop what could be longer-term brain problems. These include confusion, memory problems, dizziness, and thinking difficulties, among others. Experts in neuro-infectious disease have seen this before with Ebola survivors, HIV/AIDS patients, and other patients of viral illness. COVID-19 is a new disease but these early reports raise concerns about the long-term recovery of survivors and the possible impacts of the virus on the brain.
Translation - French Qu'est-ce qu'une « COVID longue durée » et comment en parler
Jusqu'à très récemment, le narratif sur la COVID-19 était qu'elle provoquait soit un danger de mort, soit des symptômes similaires à la grippe ; un peu de repos et la guérison sera rapide - surtout pour les jeunes. Un nombre croissant de preuves, aussi bien anecdotiques que scientifiques, semblent démontrer que certaines personnes ne guérissent pas aussi rapidement que cela. De plus en plus de rapports sont publiés concernant des personnes ayant souffert de symptômes physiques et neuronaux sérieux pouvant durer des semaines, voire des mois, affectant ainsi leur capacité à retourner au travail ou même a mener une vie normale. Cependant, lorsque ces malades sur le long-terme sont testés pour la COVID-19 des semaines ou des moins après la maladie, les résultats sont négatifs. Pourquoi donc ressentent-ils encore les effets du virus ?
En général, les malades sur le long-terme qui sont testés négatifs affichent les mêmes symptômes que ceux testés positifs pour la COVID-19: fatigue, douleurs articulaires persistantes, souffle court et perte du goût plusieurs mois après avoir initialement contracté la maladie.
Leur résultat négatif les laisse cependant dans un étrange et douloureux entre-deux, au lieu de leur indiquer qu'ils sont totalement guéris. Ironiquement, ce résultat les exclut également de la recherche ou de l'accès aux traitements. Les personnes atteintes peuvent se retrouver sans soutien de la part de leur famille et amis, qui ne comprennent pas pourquoi ils sont malades si longtemps, et beaucoup se retrouvent mis sous pression pour retourner au travail.
Que devez-vous savoir ?
Question 1
COVID longue durée est-il un terme médical ?
Il n'y a pour l'instant pas de consensus sur la définition médicale d'une « COVID longue durée ». La définition suivante est une suggestion d'un comité du British Medical Journal, publiée en septembre 2020: la COVID longue durée est une maladie qui empêche le rétablissement pour plusieurs semaines ou mois après l'apparition de symptômes indicatifs de la COVID19, pour autant que cette personne ait été testée positive au virus SARS-CoV-2 qui cause la COVID-19. Les groupes de communication privilégient cette définition : en effet, certains patients souffrant de COVID longue durée voient parfois leur demande d'assurance refusée s'ils n'ont jamais été testé pour une infection au SARS-CoV-2.
La COVID longue durée laisse les scientifiques dans le doute, et les patients touchés face à un sentiment d'abandon de la part des systèmes de santé, qui découvrent à peine les effets à long terme de la maladie. Il peut être difficile pour les personnes atteintes d'obtenir une assistance médicale ou la reconnaissance de leur maladie.
L'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) reconnait qu'elle ne comprend pas encore totalement la COVID-19. D'après elle le temps de rétablissement est de deux semaines pour les patients légèrement atteints, et jusqu'à huit semaines pour ceux sévèrement touchés. Elle reconnait cependant que certaines personnes peuvent garder certains symptômes plus longtemps.
D'après l'OMS, dans de tels cas, les symptômes peuvent comprendre une fatigue extrême, une toux persistante ou une intolérance à l'exercice (la fatigue survient très rapidement lors de la pratique d'un exercice). Le virus peut causer de l'inflammation dans les poumons et les systèmes cardiovasculaires et neurologiques. Le corps peut également mettre du temps à récupérer.
L'élément le plus inquiétant est que de nouvelles données indiquent chez certaines personnes atteintes de COVID longue durée l'existence potentielle de problèmes à long terme sur le cerveau. Parmi ceux-ci figurent notamment la confusion, les problèmes de mémoire, l'étourdissement et les difficultés de réflexion. Des experts en maladies neuro-infectieuses avaient déjà pu constater ce phénomène chez des personnes ayant survécu à Ebola, des patients VIH/SIDA et d'autres patients atteints de maladies virales. Bien que la COVID-19 soit une nouvelle maladie, ces premiers rapports provoquent l'inquiétude quant au rétablissement sur le long terme des survivants ainsi que sur les dégâts causés par le virus sur le cerveau.
Spanish to French: Ocularis - 1ère partie de la présentation de l'ONG General field: Medical
Source text - Spanish ¿QUIENES SOMOS?
OCULARIS ONGD fue fundada en 2010 como asociación sin ánimo de lucro por el Dr. Joan Prat y su equipo del servicio de oftalmología del Hospital Pediátrico de San Juan de Dios de Barcelona (HSJD). Actualmente más de una veintena de personas de diversos perfiles trabajan activamente:
Así, como PROFESIONALES y VOLUNTARI@S de la cooperación internacional, gestión, finanzas, comunicación… y por supuesto, con el inestimable apoyo económico de SOCI@S, entidades públicas y privadas.
¿QUIENES SOMOS? MISIÓN & VISIÓN
MISIÓN: Erradicar la ceguera evitable, que es la que se puede curar o prevenir, y luchar por el derecho universal e igualitario a la salud visual, contribuir a la eliminación de la pobreza y mejorar la calidad de vida de la población, sobre todo de la infancia.
La formación es la clave para el desarrollo de un país, mientras que
las acciones puntuales condicionan su autosuficiencia sin dejar ningún legado.
Dr. Joan Prat, fundador de OCULARIS
VISIÓN: Ser un pilar en la formación oftalmológica y optométrica en países en vías de desarrollo con el objetivo de que puedan llegar a autoformarse autónomamente, con la implicación de sus gobiernos, universidades y profesionales de la salud visual.
Contribuir y potenciar sus conocimientos y técnicas para que puedan asistir correctamente a un mayor número de personas. Formarles en su propio medio, adaptándonos a sus necesidades y utilizando sus propios recursos, aunque estos sean más arcaicos de los que usamos en los países occidentales.
Transformar la realidad sanitaria y social en la zona más desfavorecida y menos desarrollada del planeta, el África Subsahariana, donde las deficiencias visuales sentencian el futuro de millones de personas sin recursos.
¿QUIENES SOMOS? VALORES
IMPLICACIÓN: Con esfuerzo y empatía, impregnamos de profesionalidad a los presentes y futuros profesionales de la salud visual.
PERSEVERANCIA: Con compromiso y determinación nos esforzamos continuamente para mejorar y conseguir nuestros objetivos.
IGUALDAD: Equiparando el conocimiento optométrico y oftalmológico entre norte y sur, teniendo en cuenta la equidad de género.
HONESTIDAD: Trabajamos de forma transversal, comunicamos de forma clara y actuamos decentemente.
FORMACIÓN: Compartimos el conocimiento médico europeo de forma práctica, considerando la realidad y medios disponibles de cada país. Guiamos y enseñamos a profesionales médic@s african@s con el objetivo de formar a formador@s, mejorando a la vez la calidad de la asistencia en salud ocular de su población, sobre todo la de la infancia.
Translation - French QUI SOMMES-NOUS?
L'ONGD OCULARIS est fondée en 2010 sous forme d’association à but non-lucratif par le Dr. Joan Prat et son équipe du service d'ophtalmolgie de l'Hôpital Pédiatrique de San Juan de Dios à Barcelone (HSJD). À l'heure actuelle, plus d'une vingtaine de personnes aux profils divers travaillent activement:
Ainsi que des PROFESSIONNELS et VOLONTAIRES de la coopération internationale, de la gestion, des finances,
de la communication… et bien sûr, avec le soutien économique inestimable de PARTENAIRES, organismes publics
et privés.
QUI SOMMES-NOUS? MISSION & PROJET
MISSION: Vaincre la cécité évitable , que l'on peut guérir ou prévenir, et lutter pour le droit universel et
équitable à la santé visuelle, contribuer a l'éradication de la pauvreté et améliorer la qualité de vie de la
population, en particulier des enfants.
La formation est la clé du développement d'un pays.
Les actions ponctuelles ne font que conditionner son autosuffisance, sans laisser d'héritage.
Dr. Joan Prat, fondateur de OCULARIS
PROJET: Constituer un pilier de la formation ophtalmologique et optométrique dans les pays en voie
de développement, afin qu'ils puissent se former de manière autonome avec la participation de leurs
gouvernements, universités et professionels de la santé visuelle.
Participer à leurs connaissances et techniques et les renforcer afin qu'ils puissent correctement aider un maximum
de personnes. Les former au sein de leur propre environnement, en nous adaptant à leurs besoins et leurs
propres ressources, même quand celles-ci s'avèrent plus archaïques que celles auquelles nous avons recours
dans les pays occidentaux.
Transformer la réalité sanitaire et sociale dans l'une des zones les plus défavorisées de la planète, l'Afrique
subsaharienne, où les invalidités visuelles condamnent l'avenir de millions de personnes sans ressources.
QUI SOMMES-NOUS? VALEURS
INVESTISSEMENT: Avec effort et empathie, nous entourons de
professionalisme les acteurs de la santé visuelle d’aujourd’hui et demain.
PERSÉVÉRANCE: Compromis et détermination nous permettent de
constamment nous améliorer, et d'atteindre nos objectifs .
ÉGALITÉ: Nous uniformisons les connaissances optométriques et
ophtalmologiques du nord et du sud, et nous respectons l'équité de genre.
HONÊTETÉ: Nous travaillons de manière transversale, nous
communiquons clairement et nous agissons avec respect.
FORMATION: Nous partageons les connaissances médicales
européennes de manière pratique, en tenant compte de la réalité de
chaque pays et des moyens qui y sont disponibles. Nous aiguillons et
renseignons des professionnels de la santé africain.e.s pour éduquer des formateurs/trices, et améliorons en même temps la qualité de l'aide à la santé oculaire pour la population, en particulier pour les enfants.
Spanish to French: Creencias y salud mental General field: Medical Detailed field: Psychology
Source text - Spanish Creencias y salud mental
Si sentimos que algo va mal deberemos comenzar a analizar nuestras creencias y determinar cuáles son realmente válidas y cuáles no
Por -private name-, Psicopedagoga-Magister Psicología, Educación y Adolescencia - Una creencia es el estado de la mente en el que un individuo supone verdadero el conocimiento o la experiencia que tiene acerca de un suceso o cosa; cuando se objetiva, el contenido de las creencias puede conceptualizarse como estados de la mente en los que las personas asumen como verdaderos y válidos los conocimientos o experiencias que tienen sobre determinados sucesos o cosas. Dichas creencias forman parte de los esquemas mentales, que también abarcan todo tipo de
actitudes y paradigmas presentes en una determinada persona.
Existe un conjunto de creencias esenciales que las personas tienen sobre sí mismas, sobre el mundo y sobre las demás personas. Se trata de creencias implícitas, que se basan en la experiencia emocional y a las que las personas se adhieren fuertemente, hasta el punto de que las mantienen incluso ante evidencias en contra.
Muchos psicólogos mantienen que el ser humano funciona del mismo modo que una máquina de creencias. De este modo, sostienen que, para favorecer la supervivencia, los seres humanos desarrollan complejos sistemas de creencias que no están orientados primordialmente a la obtención de la verdad ni se guían necesariamente por los principios de la lógica. En este sentido, cuando las personas generan creencias, su principal preocupación no es, ni mucho menos, garantizar que sean reales y verídicas. El funcionamiento de este sistema es capaz de generar tanto creencias falsas como creencias correctas. En la medida en que sirven para orientar las acciones futuras de la persona, al margen de que sean correctas o no, cumplen su función de ser Las creencias son ideas que hemos ido interiorizando en nuestra mente normalmente de forma inconsciente y que, sin darnos cuenta, dirigen nuestros actos y
nos impulsan a actuar de una u otra forma, sin que, en el fondo sepamos por qué.
Estas creencias comienzan a formarse en nuestros primeros años de vida, con la educación que recibimos de nuestros padres, dando por cierto todo lo que nos enseñan, ya que el niño no está preparado para analizar si los mensajes que le envían sus padres son correctos o no. Por ello, si nuestros padres nos transmiten el mensaje de que “el mundo es peligroso” o que “no se puede confiar en la gente”, creencias que ellos bien han recibido de sus padres o han generado según sus propias experiencias, nosotros las incluiremos en nuestro subconsciente y actuaremos según ellas.
Translation - French Croyances et santé mentale
Lorsque nous sentons que quelque chose ne va pas, nous devrions commencer par analyser nos croyances et déterminer lesquelles sont réellement valides
Pour -private name-, Psychopédagogue-Titulaire d'un Master en Psychologie, Éducation et Adolescence - Une croyance est un état d'esprit dans lequel un individu tient pour réalité une connaissance ou une expérience qu'il possède par rapport à un événement ou une chose ; lorsqu'il est objectivé, le contenu des croyances peut être conceptualisé comme l'état d'esprit dans lequel les personnes considèrent comme réelles et valides les connaissances ou expériences qu'ils possèdent par rapport à certains évènements ou choses. Lesdites croyances font partie des schémas mentaux, qui incluent également tous les type d'attitudes et de paradigmes présents chez une personne.
Les individus possèdent un ensemble de croyances essentielles sur eux-mêmes, le monde et les autres. Il s'agit de croyances implicites, fondées sur l'expérience émotionnelle, auxquelles les personnes se rattachent fortement, au point de les maintenir pour vraies, et ce, même en cas de preuve invalidante.
De nombreux psychologues pensent que l'être humain fonctionne comme une machine à croyance. Ils affirment ainsi que, pour favoriser leur survie, les êtres humains développent des systèmes de croyances complexes, qui n'ont pas pour but premier l'obtention de la vérité et qui ne sont pas nécessairement guidés par les principes de la logique. Dès lors, lorsque les individus génèrent des croyances, leur principal objectif n'est absolument pas de s'assurer qu'elles soient réelles et véridiques. Le fonctionnement de ce système peut aussi bien générer des croyances fausses que vraies. Pour autant qu'elles servent à orienter les actions futures de l'individu, qu'elles soient correctes ou non, ces croyances remplissent leur fonction. Les croyances sont des idées que nous avons peu à peu intériorisées, habituellement de manière inconsciente, et qui, sans que nous nous en rendions compte, dirigent nos actes et nous poussent à agir d'une manière ou d'une autre, sans que au fond nous sachions pourquoi.
Ces croyances commencent à se former dès les premières années de vie, avec l'éducation reçue de nos parents. Nous considérons comme vrai tout ce qu'ils nous enseignent : l'enfant n'est pas armé pour analyser la véracité des messages transmis par les parents. Donc, si nos parents nous transmettent des messages tels que « le monde est dangereux » ou « tu ne peux pas faire confiance aux gens », les croyances qu'ils ont eux-mêmes reçues de leurs parents ou qu'ils ont formées de leurs propres expériences marqueront notre subconscient et régiront nos actes.
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Translation education
Master's degree - Université de Mons
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Years of experience: 3. Registered at ProZ.com: Apr 2020.
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Bio
Hello there ! :)
My name is Maxime. I am young Belgian translator working as a freelancer.
I have obtained a translation's degree a few years ago and since then working in the automotive field.
Translation has always been and will always be a passion of mine. I have always been passionated by novels, and I have been reading since I was very young.
This lead me to fall in love with my mother's tongue, which I also believe is the most beautiful language that is, and is none other than French.
This also lead me to take great interest in cultures among the globe, and therefore to start learning languages.
A combination of this passion for my language and the language of others very naturally led me to study Translation (English/Spanish->French).
However, now that I am starting professionally, I do not limit myself to it and also offer services in Proofreading (FR), Transcription (EN/SP/FR), Monolingual editing (FR), Subtitling (EN/SP -> FR), Transcreation (EN/SP -> FR France & FR Belgium), and Copywriting (FR).
I am currently building up on the experience I started acquiring working as a volunteer translator for NGO's.
My favorite/expertise fields are as listed in my profile, the ones I am the most knowledgeable about being: Literature, Philosophy, Nutrition, Sports, Medical, Economics.